Dans la "Nouvelle Guerre Froide" qui oppose les États-Unis à la Chine, deux modèles s’opposent et la stratégie américaine est mise à mal.
La politique de financiarisation néolibérale des États-Unis contre le socialisme industriel de la Chine
La rubrique "A lire ailleurs" propose, chaque mois, un ou deux textes retenus en fonction de leur intérêt pour alimenter le débat général sur la situation et sur les alternatives du point de vue des mouvements sociaux. Un lien vers le site d’origine de publication sera posté sous chaque article. Cette rubrique est complétée par des textes proposés par les sites partenaires, en ne dépassant pas plus de un ou deux textes par site et par mois.
Dans la "Nouvelle Guerre Froide" qui oppose les États-Unis à la Chine, deux modèles s’opposent et la stratégie américaine est mise à mal.
Les terres guich Oudaya ont été titrées et enregistrées au nom de la collectivité de guich Oudaya, ce qui leur confère un statut définitif et inattaquable. Pourtant, au mépris de toutes les lois et décrets applicables en la matière, ces terres font l’objet, depuis plusieurs décennies, d’une prédation dans laquelle l’administratif, l’économique et le politique s’entremêlent incestueusement, faisant de Bouazza et de milliers d’autres descendants des guich, des orphelins de leur terre.
L’anniversaire de la Révolution cette année, affecté par l’absence des festivités à cause du confinement décidé par le gouvernement, a été malgré cela marqué par des émeutes des jeunes de quartiers très révélatrices et donnant écho à un cri de colère retentissant.
Article de Maher Hanin publié sur son blog et sur le site de du média indépendant tunisien Nawaat.
Depuis deux mois, des fermiers et travailleurs agricoles de l’Inde participent à une révolte nationale contre une politique gouvernementale qui cherche à livrer les fruits de leur labeur aux grandes entreprises, dont les profits ont déjà explosé durant cette pandémie.
Comment agir efficacement pour protéger le climat et nos existences ? Dans cet entretien, Andreas Malm souligne le rôle central du capitalisme dans l’enchaînement des catastrophes écologiques.
A l’occasion des 10 ans de la révolution tunisienne Messaoud Romdhani revient ici sur les causes et les blocages politiques qui, une décennie plus tard, empêche la Tunisie de réaliser sa transition démocratique tant espérée et tant commentée, notamment sur les plans économiques et sociaux.
Avec la pandémie de Covid-19, la planète connaît sa plus grave crise économique depuis l’entre-deux-guerres. Explosion du chômage, insécurité alimentaire, décrochage scolaire… : si les effets du « grand confinement » se font ressentir partout, ils sont démultipliés dans les pays pauvres, où le secteur informel, par définition dénué de protection sociale, tient une place prépondérante.
Le soulèvement de 2010-2011 a ouvert la voie à un changement profond dans l’histoire sociale et politique tunisienne. Depuis une décennie, les mouvements sociaux connaissent une intensification et une évolution qui contribuent à changer profondément le rapport entre les acteurs sociaux et l’État central.
Il y a dix ans, un jeune vendeur de rue en Tunisie, provoquait une tempête politique qui allait rapidement s’étendre à l’ensemble de la région arabophone dans ce qu’il est convenu appeler « le printemps arabe ». Des éruptions sociales et des protestations politiques qui ont continué à se produire dans un pays après l’autre, et d’une région à l’autre au sein du même pays.
Il est illusoire de rechercher des issues à la crise générale, économique, politique et sociale qui frappe l’Algérie, dans de vaines approches techniques ou financières. La sortie du modèle rentier, la création d’une base productive moderne et la réhabilitation de l’Etat passent nécessairement par le dépassement des formes autoritaires de gouvernement d’un pouvoir ossifié.
Depuis cent ans, l’Europe est au bord de la guerre tout en pansant les plaies de la guerre précédente. Chaque fois, les raisons sont différentes, mais elles ont en commun le fait que, bien que nées ici, elles emportent le monde avec elles et sont donc globales. (...) La paix devait durer. La paix qui a duré est celle qui a été rendue possible par la guerre froide et les nombreuses guerres régionales en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie. Qu’y a-t-il de nouveau aujourd’hui ?
Entre exclusion, intégration et assimilation, la relation des Palestiniens des territoires occupés en 1948 avec le marché du travail israélien n’était jamais constante. Elle a connu plusieurs évolutions surtout après la 2ème Intifada. Trois articles qui retracent ces évolutions et mettent en (...)
Double peine pour le Pakistan, noyé sous les inondations et les dettes
Les inondations dévastatrices qui ont frappé le Pakistan ont tué plus de 1 200 personnes, dont 400 enfants, depuis le 14 juin. Elles ont déplacé environ 33 millions de personnes et compromis les moyens de subsistance de (...)
La destitution de Dilma Roussef de la présidence de la République du Brésil représente, pour la grande majorité des mouvements sociaux et des organisations de la société civile de ce pays, une profonde atteinte au régime démocratique en place depuis 1985 : un véritable coup d´Etat, dénoncé (...)