Les terres guich Oudaya ont été titrées et enregistrées au nom de la collectivité de guich Oudaya, ce qui leur confère un statut définitif et inattaquable. Pourtant, au mépris de toutes les lois et décrets applicables en la matière, ces terres font l’objet, depuis plusieurs décennies, d’une prédation dans laquelle l’administratif, l’économique et le politique s’entremêlent incestueusement, faisant de Bouazza et de milliers d’autres descendants des guich, des orphelins de leur terre.