Les médias gardent le silence sur la violence de l’opposition vénézuélienne et la répression dominante par les gouvernements de droite d’Amérique latine. La stratégie menée par la droite d’un coup d’état institutionnel a des limites sérieuses, mais la gauche doit aborder cette nouvelle menace, soutenir les décisions anti-impérialistes et faire une distinction entre le boycott capitaliste et l’inefficacité du gouvernement actuel.