Le Forum Social Mondial des Migrations (FSMM) est en route au Mexique, pour se tenir du 2 au 4 novembre 2018 à Mexico. Le forum s’articule avec un ensemble de mobilisations : La [Caravane des Migrants->http://carovanemigranti.org qui a traversé de la Tunisie vers l’Italie et la France, en lien (...)

Des milliers de manifestant.e.s engagé.e.s dans le changement non-violent dans le monde entier partiront d’Inde, de Belgique, de France, d’Allemagne, de Suède, du Mali, du Sénégal, d’Espagne et d’autres pays vers Genève (Suisse).

Les personnes qui occupent une place importante dans la campagne de Jai Jagat viennent du bas de la hiérarchie socio-économique : communautés autochtones, groupes socialement discriminés ; les petits agriculteurs et les communautés sans terre ; les réfugiés et habitant.e.s des zones de conflit ; et les personnes déplacées sur le plan écologique.

Ce jeudi 17 mai s’ouvre à Montréal la « Grande transition », un évènement assez exceptionnel qui attend plus de 1000 personnes. Oui vous avez bien lu, il n’y a pas un 0 de trop.

L’initiative a une certaine profondeur, puisqu’elle a été mise en place par des collectifs étudiants-profs dans plusieurs universités québécoises.

Pour cette rencontre, l’idée de la « transition » devient un processus, à la fois une lutte opiniâtre et quotidienne, à la fois un ensemble d’expérimentations « pré-figuratives ». D’où la volonté fortement exprimée de créer des mouvements et des partis qui soient des outils d’émancipation, et non pas des leviers pour permettre aux « cadres et compétents » de prendre la place des autres. D’où la nécessité de mettre au premier plan et de donner la parole aux invisibles et aux inaudibles de l’histoire, les femmes, les autochtones, les réfugiés, les damnés de la terre de toutes sortes à commencer par cet énorme « précariat », surtout jeune, surtout féminin. D’où la nécessité de repenser l’économie en sortant du carcan de la fausse croissance et du faux progrès, en rétablissant un autre rapport avec Pachamama, ce qui impose de ne pas la considérer comme une « ressource ».

Liberté de propos, bienveillance des uns envers les autres, égalité de tous face à la question humaine.
Tels sont les principes sur lesquels se construisent les Dialogues en humanité (Grand Lyon – France), temps d’échanges où des citoyens avec leur histoire, leurs connaissances, leurs (...)

Durant les quinze dernières années, l’expansion, la consolidation et l’intensification d’un modèle d’utilisation abusive des « ressources naturelles », s’est intensifié. Ce modèle, au nom du progrès et du développement, a dévasté et dégradé des zones socio-écologiques énormes, intensifiant le (...)

C’est un événement engagés ouvert à tou.te.s celles et ceux qui agissent aujourd’hui et/ou souhaitent rejoindre un espace commun pour contribuer à construire ensemble un monde juste, écologique et solidaire.
Les objectifs sont clairs : La formation de militant·e·s et de nouveaux publics La (...)

La Conférence Tricontinentale a apporté l’espoir de vivre dans la liberté et la dignité, brisant les chaînes du colonialisme et de l’exploitation néo-coloniale.

Malheureusement elle s’est soldée par une répression particulièrement violente de la part des États-Unis, de leurs alliés européens et des gouvernements satellites en Afrique, en Asie et en Amérique latine.

Dans ce texte, Bachir Ben Barka nous expose les espoirs et désespoirs de la Tricontinentale.

Ce texte présente les mouvements contestataires aux idéaux communistes de 1968 en Pologne, Tchécoslovaquie et Yougoslavie. Ainsi il illustre la dynamique subversive (anti-bureaucratique et capitaliste à la fois) de ses mouvements de masse démocratiques.

La révolution vietnamienne et la scission du mouvement communiste ont eu des répercutions considérables dans la politisation et dans la reflexion des mouvements étudiants en Asie.

Abraham Behar se propose d’analyser ce phénomène en s’appuyant sur deux exemples : le Japon et le Pakistan.

Depuis 2009, des gens occupent la ZAD de Notre Dame des Landes pour empêcher la construction d’un nouvel aéroport.
Le 17 janvier, le gouvernement français a annoncé que le projet d’aéroport serait abandonné, cependant, les personnes occupant ces 4000 acres de territoire refusent de partir car (...)